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 DYMPHNA ♦ crown of thorns

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AnonymousInvité
MessageSujet: DYMPHNA ♦ crown of thorns    DYMPHNA ♦ crown of thorns  EmptyJeu 7 Déc - 21:10

Dymphna (Blavatsky) Wellington

ϟ Âge : 17 ans, un âge plein de fougue, plein de malice. L'âge où l'on rêve grand, où l'on voit le monde plus vaste qu'il ne l'est réellement. Un âge où tout est possible, où l'on n'est plus un enfant, mais pas encore un adulte.
ϟ Nationalité : Une nationalité britannique pour des origines variées : russes du côté de sa mère, françaises du côté de sa grand-mère, et asiatiques si l'on remonte du côté des Wellington.
ϟ Année d'études : Voilà que Dymphna rentre en septième année, après une scolarité sacrément chamboulée pour la jeune fille.
ϟ Sang : Le sang des Wellington est connu pour être mêlé, mais pas besoin de remonter les âges pour trouver des moldus dans l'arbre généalogique de Dymphna : sa propre mère, Anya Blavatsky, n'avait jamais eu vent de l'existence des sorciers avant sa grossesse.

ϟ Maison : On dit que le choixpeau magique a hésité avec la maison vert et argent, mais pourtant cela fait sept années que Dymphna porte fièrement les couleurs des lions, le rouge et l'or lui allant nettement davantage au teint si vous voulez son avis. Et oui, c'est au sein des Gryffondor qu'elle s'épanouit depuis son arrivée à Poudlard.

ϟ Avatar : Krystal Jung

Affiliation : Toute étudiante qu'elle est, Dymphna ne fait partie d'aucun camps. Elle a pourtant bien conscience que son père a rejoint le Seigneur des Ténèbres, mais elle refuse de se joindre à lui. Les idées des mangemorts la rebutent au plus haut point, mais ne la mettent pour autant pas en danger. Pourtant, lorsqu'elle sortira de Poudlard, elle compte bien combattre contre ces idéaux néfastes. Après tout, elle n'oublie pas que sa propre mère était une moldu, et que nombreux de ces amis sont des nés-moldu. Il est hors de question pour la jeune-fille de demeurer neutre alors que des sorciers craignent pour leur vie.

Baguette : Lorsqu'elle a reçu sa lettre pour Poudlard, Dymphna a été chez Ollivander chercher sa baguette. C'était la première chose qu'elle avait faite. Il ne lui fallut pas bien longtemps pour trouver la baguette faite pour elle, celle qui fit des étincelles lorsqu'elle la prit entre ses mains. Un baguette faite de cèdre, et somme toute assez sommaire. Un bois qui convient aux caractères les plus explosifs. Elle contient en son sein une plume de phénix, ce qui lui confère une puissance que Dymphna eut bien de mal à apprivoiser durant ses premières années, au plus grand damn de Flitwick. Sans compter le fait qu'avec 29cm et 45 centimètres, elle avait bien du mal à la manier. Heureusement, aujourd'hui elle s'y est faite, et parvient à la manipuler non sans une certaine dextérité.

Miroir du Riséd : Sans aucun doute, Dymphna y verra sa mère, le visage souriant, l'air en bonne santé. Elle porterait l'une de ses robes à fleurs qu'elle aimait tant, et son cardigan rose pâle qu'elle ne quittait jamais. Elle s'avancerait vers sa fille, les bras écartés pour pouvoir l'enlacer. Oui, le désir le plus profond de Dymphna serait de serrer sa mère une dernière fois dans ses bras, pouvoir lui dire à quel point elle aime, à quel point elle est heureuse d'être sa fille et d'avoir pu grandir quelques années à ses côtés.

Épouvantard : Cela va probablement paraître cliché, voire même carrément pathétique, mais l'épouvantard de Dymphna prend la forme d'une gigantesque araignée, velue jusque qu'aux pattes. S'il y a bien un sort qu'elle a mis à maitriser d'ailleurs, c'est le ridikkulus tant cette phobie la tétanise, et ce depuis son plus jeune âge. On ne pourrait que trop vous conseiller de ne pas la mettre en présence d'une araignée d'ailleurs, car ses réactions peuvent être autant imprévisibles que démesurée.

Amortentia : La première fois que Dymphna a réalisé un amortentia, elle a cru s'être trompé car il lui semblait que celui ci ne sentait rien. Il fallu que Slughorn lui affirme qu'elle l'avait réussi pour qu'elle s'y intéresse d'un peu plus près. Car oui, l'amortentia de Dymphna sent bien quelque chose, mais c'est une odeur si fine, si légère, qu'il faut se concentrer pour la déceler. On peut tout d'abord y déceler quelques notes de pâtisserie, et plus particulièrement des tartes aux prunes que réalisait sa grand-mère quand Dym était enfant. Il y a ensuite l'odeur si caractéristique de la terre d'écosse avant une tempête, un air qu'elle pourrait humer pendant des heures. Enfin, et de manière plus discrète encore, il y a l'odeur poudrée du parfum de sa mère, que l'enfant qu'elle était avait l'habitude de chaparder.

Compétences magiques

Duels : 8/10
Potions : 5/10
Métamorphose : 8/10
Sortilèges : 7/10
Légilimancie : 0/10
Occlumancie : 0/10
Quidditch : 2/10
Divination : 0/10

ϟ Pseudo/prénom : virginie ϟ Âge : 22 ans, toutes mes dents ϟ Fréquence de connexion : it depeeeeends ϟ Ce personnage est : inventé ϟ Où nous avez-vous connu : d'après ma première fiche, Bazzart, mais déjà à l'époque je n'en étais plus sûre u_u ϟ Le mot de la fin : PIPIIIII :pipi:


Dernière édition par Dymphna Wellington le Dim 10 Déc - 10:33, édité 4 fois
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AnonymousInvité
MessageSujet: Re: DYMPHNA ♦ crown of thorns    DYMPHNA ♦ crown of thorns  EmptyJeu 7 Déc - 21:35

hogwarts: a history



DYMPHNA ♦ crown of thorns  867368superthumb DYMPHNA ♦ crown of thorns  K9SdofRU DYMPHNA ♦ crown of thorns  T5gTjKMy
O N C E . U P O N . A . T I M E
what a joke.

- À partir de maintenant, tu t'appelleras Dymphna Wellington.
De quel droit ? De quel droit cet inconnu aux traits burinés et aux cheveux poivre et sel se permettait-il de changer mon identité ? "Certainement pas" avais-je voulu répondre, mais ma grand-mère m'avait prévenue que cela ne servirait à rien. Alors, je m'étais contentée de lancer à cet homme un regard noir tandis que je serrais les poings jusqu'à m'enfoncer les ongles dans la peau, créant ainsi de petites demi-lunes dans la paume des mes mains. De toute façon, du haut de mes onze, que pouvais-je bien répondre ? Cet homme s'était présenté comme étant mon père, et personne ne semblait avoir prétendu le contraire. Après onze années d'un silence total, il daignait enfin se montrer. J'avais envie de lui hurler dessus, de lui jeter ma haine au visage, lui qui avait abandonné ma mère si tôt qu'il avait appris qu'elle était enceinte, il se permettait à présent de me traiter comme si j'étais sa fille, comme s'il n'avait jamais cessé d'être là pour moi.
- Je pourrais rester vivre avec Granny ? avais-je alors demandé le plus naturellement du monde.
Granny était ma grand-mère, la femme qui avait été ma mère à m'élever. Contrairement à ce que beaucoup pensaient, c'était la mère de mon géniteur, la seule Wellington a être restée pour la petite Anya Blavatsky lorsque cette dernière avait lâché la terrible nouvelle "Je suis enceinte". Lorsque son fils, Mickaël Wellington avait pris la fuite en laissant derrière lui une jeune-femme de vingt ans, seule et sans repère, Granny l'avait accueillie sous son toit. Tout ce qu'elle demanda en échange était de pouvoir me donner le nom de sa propre mère : Dymphna. Ma mère avait trouvé ce prénom étrange, à des années lumières des prénoms qu'elle avait eu l'habitude d'entendre : Anastasia, Maria, Kristina, Olga, ... Ma mère était russe. Elle avait quitté sa Sibérie natale, vivant durant des mois d'eau, et de la générosité dont les européens pouvaient - éventuellement - faire preuve à son égard. Arrivée en Angleterre, elle était tombée sur un jeune-homme charmant et plein de caractère, un homme qui deviendrait mon père, Mickaël Wellington. Cela ne dura que quelques nuits en vérité avant que Mickaël ne disparaisse sans un mot. Elle vivait seule, dans un petit appartement miteux de Londres qu'elle parvenait à peine à payer grâce à ses multiples petits boulots lorsqu'une femme d'une cinquantaine d'année frappa trois grand-coups à la porte. Elle avait un air stricte, tout en étant étrange. Elle était vêtue d'une longue et épaisse robe verte bouteille brodée dans le bas, et portait sur les épaule une fourrure d'une étrange couleur mauve. Ma mère me raconta souvent comment cette femme s'était invitée chez elle sans prévenir, comme si elle était une vieille amie aigrie, ou une tante préoccupée. Elle s'était alors présentée comme étant Sélène Wellington. Elle parlait un anglais parfait, mais avec un fort accent français que ma mère parvenait à déceler. Elle explique alors qu'elle était la mère de Mickaël, et que - par tous les dieux - il était hors de question qu'elle laisse la mère de sa descendance vivre dans un tel trou à rats. Granny a toujours été une femme des plus extraordinaires, dans tous les sens du terme. Elle a accueilli ma mère chez elle, et lui a expliqué tout ce qu'il y avait à savoir sur leur famille. Elle vivait dans une petite maison au bord d'une falaise donnant sur la mer près de Aberdeen, en Écosse. Son mari était décédé depuis peu, et elle y vivait seule avec une étrange créature "Comprenez bien ma chère que je ne peux vivre près des autres moldus en vertu de ma condition" lui avait-elle dit d'une manière presque dédaigneuse. Ma mère avait mis un temps avant de l'admettre : Sélène Wellington était une sorcière. Son mari était un sorcier. Mickaël était un sorcier. Et il y avait des chances que l'enfant qu'elle portait développe certaines habilités à son tour "Ce n'est pas une certitude toute fois" avait repris Granny "Mon père était un moldu, et des trois enfants qu'il a eu, j'étais la seule sorcière" mais il était évident qu'elle nourrissait l'espoir que sa descendance hériterait de ce fameux don. Nous restâmes vivre dans cette petite maison rongée par les tempêtes, jusqu'à mes onze ans. La mort prématurée de ma mère avait poussé mon "scélérat de père" (tels étaient les mots employés par Granny) à montrer le bout de son nez.
Ma question sembla le surprendre, comme s'il doutait que quiconque puisse avoir envie de vivre avec sa mère. Il jeta un regard à cette dernière, qui se trouvait quelques pas derrière moi. J'étais bien incapable de la voir, mais je l'imaginais volontiers regarder son fils avec cet air méprisant dont elle ne se séparait jamais vraiment. Il reposa alors son regard sur moi
- J'ai pensé que tu préférerais vivre à Londres ? C'est une grande ville, tu t'amuserais beau... Avait-il commencé en souriant.
- Non.
Son expression laissait entrevoir toute sa surprise. Il ne s'était pas attendu à cela, loin de là. Sans doute pensait-il que rejoindre la capitale représentait pour toute personne une chance en or ? J'entendis alors les talons du ma grand-mère claquer sur le sol tandis qu'elle s'approchait.
- De toute façon, cela n'a pas grande importance, avait-elle dit à l'attention de son fils, en Septembre prochain, elle ira à Poudlard, et viendra chez moi pendant les vacances. Si tu as envie de la voir, tu pourras bien en profiter pour rendre visite à ta vieille mère.
Un poids considérable s'envola de mes épaules tandis que Granny prononçait ces mots. Elle ne me laisserait pas partir, et mon père serait bien sot d'essayer de la contredire. Je ne connaissais personne qui aurait eu un tel culot, pas même ma mère - qui avait pourtant d'excellent rapport avec ma mère. Il fut ainsi décidé que je passerais les vacances de Noël à Londres, mais le reste de mon temps, je le partagerais entre l'école des Sorciers, et la vieille maison de Granny.

DYMPHNA ♦ crown of thorns  882383tumblr_l424l7Nk1p1qzzefvo1_500_large DYMPHNA ♦ crown of thorns  Gryffy11 DYMPHNA ♦ crown of thorns  Wizard11
G R Y F F I N D O R !
wait what ?

Il y avait une chose qui me chagrinait plus que tout le reste : que ma mère ne soit pas là pour assister à ma rentrée. Bien sûr, elle n'aurait pas pu, mais j'aurais aimé qu'elle m'accompagne pour acheter tout ce qu'il me fallait sur le chemin de traverse, qu'elle choisisse avec moi l'animal qui m'accompagnerait pendant sept ans - mon choix s'était finalement porté sur un hibou grand duc - ou même qu'elle m'embrasse tendrement avant de me laisser disparaître sur le quai 9 3/4. Je chassai les souvenirs de sa maladie dans un coin de ma mémoire, reposant mon attention sur les élèves qui se trouvaient devant moi, attendant chacun que le choixpeau ne décide de leur maison. Bien sûr, Granny m'avait expliqué comment cela se passait : on nous posait le chapeau usé sur la tête, et celui-ci choisissait pour nous l'une des quatre maisons de Poudlard : Gryffondor, Serpentard, Serdaigle ou Poufsouffle. Dans la foulée, ma grand-mère m'avait expliqué que mon grand-père était allé chez Poufsouffle, mais Mickaël avait été chez les Serpentard "à tous les coups à cause de son ambition, et son intérêt ridicule pour la pureté du sang". Contrairement à certaines familles, la nôtre n'était pas du genre à systématiquement se retrouver dans l'un ou l'autre maison " Sûrement à cause du sang-mêlé " Évidemment, elle, elle n'était pas allée à Poudlard étant donné qu'elle était française, mais mon grand-père lui avait dit tout ce qu'il y avait à savoir "pour nos futurs petits-enfants". Mon nom de famille me plaçant dans les derniers à passer, j'eus tous le loisir de voir les premières années réparties dans les différentes maisons. Je souhaitais me retrouver à Poufsouffle, comme mon grand-père. C'était pour moi une évidence d'ailleurs. Je n'étais pas assez courageuse pour être Gryffondor, et le fait de savoir que mon père était Serpentard me les rendait particulièrement antipathiques. Enfin, je n'envisageais même pas me retrouver chez les Serdaigle, me voyant mal passer sept années le nez dans un livre. Poufsouffle me paraissait donc un bon compromis. Quand vint le moment de m'asseoir sur le tabouret face à moi, mon coeur sautait dans tous les sens au fond de ma poitrine, comme s'il cherchait à tout prix un moyen de s'enfuir. Le choixpeau posé sur ma tête, l'angoisse se voulait plus forte que jamais. Tu as peur. Devina-t-il aussi tôt. Tu as peur de ce que je pourrais penser de toi ... Pourtant tu ne manques pas d'orgueil et d'ambition. Tu ne veux pas ressembler à ton père, et pourtant, tu aurais parfaitement ta place dans la maison qu'il fréquentait autrefois. Oui, à coup sûr, tu ferais une très bonne Serpentard. Je me figeai, jetant un coup d’œil à la table des Serpentards. Granny m'avait répété que je ne devais jamais me fier à mes ressentiments, avait-elle vu la même chose en moi ? "Tout est une question de choix." Il était vrai que j'étais orgueilleuse et ambitieuse, mais était-ce pour autant que ... Mais il n'y a pas que ça. En vérité ... "Gryffondor !" Avait scandé le choixpeau, me laissant pantoise, pendant que la table des Gryffondor applaudissait à tout rompre. À tous les coups, il s'était planté. Il avait voulu dire Poufsouffle, ou peut-être Serpentard ma foi. Mais Gryffondor ? Y avait-il moyen de repasser le test ? Histoire de corriger cette erreur ? Il me semblait que non. Ainsi, timidement j'allai m'asseoir à la table des Gryffondor, le rouge aux joues, et les cheveux me tombant devant les yeux.

DYMPHNA ♦ crown of thorns  219658large15 DYMPHNA ♦ crown of thorns  UPoQjB7k_o DYMPHNA ♦ crown of thorns  AQh8LJRI
I . A M . T R U L Y . S O R R Y
liar.

- Où est Granny ?
Les mots étaient sortis plus vite que ma pensée. Dix minutes plus tôt, j'étais euphorique, ravie à l'idée que j'allais passer les deux prochains mois chez la personne que j'aimais le plus au monde. Voir mon père m'attendre sur le quai fut une véritable douche froide.
- Elle ... Elle ne sait pas venir te chercher, tu dors chez moi ce soir.
Je venais de finir ma troisième année à Poudlard. Trois années extraordinaire, il me fallait le reconnaître. Je n'avais toujours pas compris le choix du choixpeau, mais j'avais trouvé chez les Gryffondor la famille dont j'avais toujours rêvé. Cela ne m'avait bien évidemment pas empêché de régulièrement correspondre avec ma grand-mère, et rien ne m'avait laisser penser qu'elle ne serait pas là à m'attendre. Bien sûr, elle m'avait envoyé moins de lettre en cette fin d'année scolaire, mais c'était toujours le cas : elle se préoccupait de mes études, sans doute même plus que je ne le faisais.
- Dymphna, tu peux monter dans la voiture s'il te plait ? Avait demandé mon père d'une voix douce. Ses yeux étaient gonflés, et il semblait épuisé.
- Dis-moi pourquoi elle n'est pas là.
- Je te le dirai, mais monte dans la voiture s'il te plait.
Il m'avait souvent dit qu'il n'appréciait pas mon comportement à son égard. Souvent, nous nous disputions. Mais pour la première fois, il ne releva pas mon insolence. Il gardait ce même ton prévenant, et en même temps, il semblait absent. Sans que je sache pourquoi, les larmes me montèrent aux yeux. J'entrepris de ranger mes affaires mais il m'interrompit
- Laisse, je m'en charge, avait-il dit pendant que je me dirigeais vers le siège passager.
Une fois qu'il fut assis à côté de moi, j'attendis qu'il mette le contact, mais rien ne vint. Je tournai alors la tête vers lui, la gorge nouée.
- Dis-moi ce qu'il se passe, je t'en prie ...
C'était une nouveauté : je ne l'avais encore jamais supplié. Je n'avais jamais éprouvé de sympathie à son égard, mais j'avais besoin qu'il brise le tabou qui semblait peser sur la voiture.
- Je suis désolé ... une larme roula sur sa joue Je suis tellement désolé ...
- PARLE MOI ! Je m'étais mise à hurler, les larmes ravageant mes joues. Je n'étais pas sûre de vouloir entendre ce qu'il avait à me dire en vérité. Non, je voulais sortir de cette voiture, courir, m'enfuir, retourner à Poudlard, faire comme si rien de tout cela ne s'était produit. Mais j'avais besoin de savoir.
- Ta grand-mère est décédée il y a deux jours.
Il n'osait pas me regarder, son regard fixé sur la plaque d'immatriculation de la voiture garée devant nous. Je le regardais, secouant la tête. "Tu mens" murmurai-je, refusant d'en croire mes oreilles. Non, ce ne pouvait être la vérité, il ne s'agissait que d'une horrible et cruelle stratégie pour que je vienne vivre avec lui à Londres, que je ne revoie plus ma tendre Granny. Il mentait. Et pourtant, il pleurait. Plusieurs minutes s'écoulèrent dans un silence troublé par ses sanglots alors que j'attendais un mot, un démenti, n'importe quoi.
- Elle était malade, elle n'a rien dit à personne ... Finit-il par articuler.
Ses mains étaient crispées sur son volant, et j'observais ses jointures devenir blanches. Ainsi, la maladie me privait à nouveau de ceux que j'aimais ? Était-ce juste ? Pourquoi ? Qu'avions-nous fait pour mériter cela. Mais mon coeur refusait d'admettre l'affreuse vérité. Elle ne m'aurait pas caché cela, pourquoi l'aurait-elle fait. La pluie s'était mise à tomber, et j'ouvris la portière avec fracas.
- Dymphna !
J'entendis mon père hurler dans mon dos, mais je refusais de l'écouter. Je traversai la route sans me préoccuper des coups de klaxon. Je ne connaissais pas Londres, mais cela m'était égal. Je pouvais bien me perdre, alors je demanderais à quelqu'un de me reconduire chez moi, en Écosse.

Il se passa plusieurs heures durant lesquels je déambulai dans les rues de la capitale anglaise, trempée jusqu'aux os. La nuit était tombée lorsqu'un homme vêtu d'un uniforme de policier se pencha sur moi. Il eut des mots doux et réconfortants, mais je les entendis à peine. Il me conduisit au commissariat où il me tendit un thé brûlant, et quelques biscuits qu'il devait probablement avoir reçu à noël vu les motifs de la boite.
- Quel est ton nom ? m'avait-il demandé sur un ton paternel.
Je ne répondis rien, observant la fumée s'échapper de la tasse de thé posée devant moi. On y voyait la tête d'un chien de bande dessinée dire "C'est moi le chef !", sa langue pendant sur le côté. Il avait l'air heureux.
- Qui est responsable de toi ?
- Sélène Wellington.
J'avais répondu du tac-au-tac. Qui d'autre pourrait l'être. Il se dirigea alors vers l'un de ses collègues, avec lequel il s'échangea quelques mots. Je ne fis même pas l'effort de tendre l'oreille.
- Nous avons prévenu ton père que tu es là, il sera soulagé de voir que tu vas bien, dit-il en revenant vers moi, un sourire plein de pitié derrière sa moustache grisonnante. Bois un peu, tu dois être frigorifiée.
Résignée, je m'exécutai, portant le sombre breuvage à mes lèvres. Cinq minutes plus tard, un homme paniqué et trempé entrait à son tour dans le commissariat. Il portait un par-dessus kaki, et un chapeau brun détrempé, mais je reconnus sa voix aussitôt qu'il prononça mon prénom
- Dymphna ! Dymphna, tu vas bien ? Oh ma chérie, j'ai eu tellement peur !
Je gardai le silence, le laissant me prendre dans ses bras sans protester. Il pleurait à chaudes larmes contre mes cheveux, et un sentiment de culpabilité m'envahit. Il avait eu peur pour moi, il s'était inquiété, avait prévenu la police moldue, et semblait avoir couru un marathon pour arriver si rapidement au commissariat. J'avais été horrible envers lui, mais au fond, m'en souciais-je réellement ?

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M Y . C A S T L E . O F . G L A S S
i wish i was strong.

- Tu as vu l'heure ? Où vas-tu ? Dymphna !
Crier mon nom à la fin de chaque phrase était devenu une habitude pour mon père à chaque fois que je rentrais chez lui. Comme si cela, par un étrange maléfice, m'obligeait à répondre. Il n'en était rien. Notre relation père-fille était des plus catastrophiques, et je ne peux pas prétendre que je faisais de mon mieux. En un été, j'avais appris à connaître Londres mieux que personne. La fille de notre voisin de pallier était une jeune-fille de mon âge, Amanda. La voisine de l'étage du dessous disait régulièrement d'elle que ce n'était qu'un déchet de la société, une petite peste qui avait mal tourné. Sa mère était avocate, mais divorcée de son père. Elle menait la belle-vie en Californie, où elle avait épousé un nouvel homme et mis au monde un garçon. Son père était un chirurgien mondialement connu, qui ne passait que très peu de temps chez lui, et jamais avec la même femme. J'admirais énormément Amanda. Pour une moldue, je voyais en elle une force que j'enviais. Les premiers jours furent plutôt compliqués : elle avait ce regard qui signifie "Dégage morveuse", mais nous finîmes par devenir amies. Elle me présenta à sa bande de potes, tous plus étranges les deux que les autres. Certains étaient largement plus âgés que nous, le petit copain d'Amanda entre autre, Jacob, qui avait vingt-deux ans. Ils aimaient traîner dans les recoins les plus sombres de Londres, consommaient des substances qui les mettait dans de drôles d'état. Je trouvais ça drôle, alors je suivais le mouvement, comme une pauvre idiote. En deux mois, ma vie toute entière avait basculé. Ce qu'Amanda appréciait chez moi, c'était que j'avais pas "froid aux yeux", que je me foutais bien mal des dangers que nous pouvions encourir au gré de nos escapades. Pour une "gamine", j'étais "intéressante". De tels compliments me gonflaient de fierté. Une fois de retour à Poudlard, il va sans dire que mes points chutèrent comme jamais auparavant. Je passais plus de temps à sécher, ou à faire n'importe quoi, qu'à étudier comme j'aurais dû le faire. J'en étais pourtant à ma quatrième année, et l'on commençait tout doucement à nous parler des BUSE qui allaient conditionner notre cinquième année. Mais je m'en moquais. L'avenir ? Une blague. Une vaste plaisanterie. Je ne me sentais jamais plus en vie que lorsque j'échappais au concierge pour une connerie ou l'autre. Je me sentais forte, invincible, et ce malgré les cauchemars qui continuait de m'habiter chaque nuit. J'y voyais ma grand-mère me regarder avec un air sévère, et ma mère pleurer en silence. Je ne comprenais pas, elles auraient dû être fières de moi.
- Cette fois, ça suffit Dymphna !
La porte se verrouilla sous mes doigts, tandis que je jetai un regard noir à mon père qui se trouvait dans mon dos. Bien sûr, mon père avait eu vent de mon comportement à Poudlard. Les deux mois qui avaient suivi le décès de ma grand-mère, il s'était montré compatissant, et faible. Il pleurait souvent, et semblait misérable attablé dans notre cuisine, le regard perdu dans un whisky pur malt. Mais depuis mon retour pour les grandes vacances, il tentait de réparer ses erreurs. Grand bien lui fasse, mais ça m'était tout à fait égal.
- Laisse-moi sortir, avais-je d'un ton sans réplique.
Mais cette fois, mon père ne se laissa pas démonter. Il plongea son regard dans le bien et me somma de m'asseoir une première fois. Je n'en fis rien. Il se répéta, plus fort. Je ne fis toujours rien. Ce ne fut qu'à la troisième fois que je m'exécutai, cédant devant ses yeux furieux.
- Il faut que nous parlions Dymphna.
- Dépêche-toi, j'ai rendez-vous avec des amis, avais-je alors dit en le regardant de haut.
- Tu n'iras nul part ce soir.
Je n'en revenais pas. Je le regardai interdite, pendant à une blague de mauvais goût. Mais son expérience sérieuse et sévère me laissait à penser le contraire. J'affichai alors une moue méprisante, tandis que mes yeux lançaient des éclairs.
- J'aimerais voir ça tiens.
- Et tu es privée de sortie pour le reste des vacances par la même occasion.
Je me levai d'un bon, hurlant un "Quoi ?!" qui sembla se répercuter contre les murs. Pourtant, mon père ne cilla pas, et me fit signe de me rasseoir. J'obéis du premier coup, les jambes flageolantes.
- C'en est assez Dymphna. J'ai cru que ça te passerait, j'ai cru que tu surmonterais ta tristesse
- Je l'ai surmontée, grâce à Amanda ! m'époumonai-je en l'interrompant
- Mais à la place, continua-t-il sans prêter attention à mon intervention, tu te détruis. Je refuse que ma fille fasse preuve d'une telle faiblesse, et ta grand-mère ne l'aurait pas plus toléré que moi.
Je n'en revenais pas. Comment osait-il parler au nom de ma grand-mère ? Et pourtant, je restai là, la bouche ouverte comme une idiote, incapable de dire le moindre mot. Sans doute parce qu'au fond de moi je savais qu'il avait raison, mais je refusais de l'admettre.
- Quand tu retourneras à Poudlard, tu travailleras pour tes BUSE. Tu ne rentreras pas à Noël, et je reconsidérerai la question de te laisser sortir avec tes "amis" lorsque j'aurai sous les yeux de très bons résultats scolaires.
- Tu ... Tu n'as pas le droit de m'enfermer, bégayai-je des larmes de fureur perlant au coin de mes yeux.
Il posa alors sur moi un regard qui me rendit d'autant plus furieuse : ses traits s'étaient adoucis, et un pauvre sourire étirait ses lèvres
- Plus tard Dymphna, tu comprendras à quel point c'est important que je le fasse.
Mais je refusais d'y croire. Je fus pourtant enfermée jusqu'au premier septembre, je ne rentrai pas à la maison pour Noël, j'étais à peu près persuadée qu'Amanda m'avait oubliée - elle ne prit jamais de mes nouvelles -, et je passai mes BUSE.

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G O O D . J O B
are u proud of me ?

Comme à chaque vacances scolaires depuis que Granny était décédée, mon père et moi avions une conversation sur le parking de la gare. Cette année bien sûr, il était question des BUSE que j'avais passé à l'instar de tous les étudiants de cinquième année.
- Tu as réfléchis ?
- Pardon ?
Sa voix avait soudainement brisé le silence qui s'était installé dans la voiture, à ce point que sa question m'avait désarçonnée. La vérité était que j'avais eu des tas de sujets auxquels j'avais pu réfléchir durant cette année. Mon comportement de l'année précédente était sans nul doute l'un d'eux.
- À ce que tu comptes faire plus tard ?
Je ressentis une pointe de soulagement en me rendant compte qu'il parlait toujours de l'école, mais en même temps, son air grave m'inquiétait. Le soulagement ne fut que de courte durée quand je pris conscience de ce qui l'inquiétait.
- Je ... Je ne sais pas... dis-je précipitamment, mon coeur battant à tout rompre dans ma cage thoracique.
- Tu n'as pas eu ton rendez-vous d'orientation ? demanda mon père en fronçant les sourcils.
- Oh, si bien sûr mais ... Je ... je poussai un soupir, incapable de m'exprimer, comme si quelque chose m'en empêchait.
- Il faut penser à l'avenir Dymphna, c'est important.
Je savais de quoi il parlait. Je connaissais la menace qui planait sur nos têtes, l'ascension de Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom. Je ne m'attendais cependant pas à ce que mon père y fasse allusion, je le voyais mal prendre part au combat qui se profilait.
- Je sais ... Je voudrais être auror, mais mes points en ...
- Auror ?!
Mon père semblait s'être étouffé, et avait tourné son visage vers moi.
- Tu te rends compte du danger que cela représente ?!
Je ne m'attendais pas à cela. J'ouvris la bouche, et la refermai à deux reprise, ne sachant pas comment réagir. Il avait l'air en colère, et pourtant je ne voyais rien qui le justifiait.
- Typique de Gryffondor, finit-il par cracher en reposant son regard devant lui.
- Que veux-tu dire ?
Je m'étais refermée sur moi-même, fronçant les sourcils. Qu'est-ce que ma maison venait faire dans cette conversation.
- Dymphna, avec les temps qui courent, il faut que tu penses à te protéger.
- À me protéger ? répétai-je abasourdie.
- J'ai pensé que l'on pourrait retourner dans la maison de ta grand-mère le temps que les choses se tassent et ...
- Que les choses se tassent ?! ma voix était montée d'un cran, non, tais-toi ! lui avais-je dit en voyant qu'il allait reprendre la parole il est hors de question que je me cache. Hors de question que je vive recluse. S'il faut se battre, je me battrai. S'il faut mourir, je mourrai en héro. Tu m'entends ? Alors cache-toi si tu le souhaite, va te terrer dans un trou si tel est ton désir, je ne te dénoncerai pas. Mais ne me demande pas de t'accompagner, car la réponse est non.
Je ne savais pas exactement ce qui m'avait pris. Jamais encore je n'avais parlé de la sorte, posément, calmement, et avec conviction. Comme si l'idée de me cacher était insoutenable, et m'avait prendre conscience de ce dont j'étais prête. Mon père me regardait ; il était affolé. Il tentait de le masquer bien sûr, mais cela ne servait à rien. Il finit par reprendre son calme, et cette apparence lisse que je haïssais quand le contrôle lui échappait.
- Tu es bien comme ta grand-mère toi.
- Je te remercie du compliment.
Bien sûr, ça n'en était pas un. Je n'avais jamais compris comment mon père pouvait être tel qu'il était en ayant eu des parents comme les siens. C'était au-delà de mon entendement, comme s'il était un ovni dans la famille.
- Tes points en potion sont en peu faibles pour être auror non ?
- Ne t'en fais pas, je travaillerai dur, je m'améliorerai, j'y arriverai.
Se trouvant à court d'excuse, il démarra la voiture et nous roulâmes en silence jusqu'à la maison. Le lendemain, une lettre sur la table. "Tu sais où me trouver en cas de besoin." Je le savais, oui, mais cela m'était bien égal. Amanda vint frapper à ma porte, ravie que son "amie" était de retour. Je la renvoyai chez elle. J'avais bien d'autre chose à faire que de jouer les délinquantes, que de me croire grande une cigarette dans le bec, que de faire sembler de me préoccuper de leurs histoires ridicules. Quelque chose de grave ne tarderait pas à se produire, cela ne faisait pas l'ombre d'un doute.

DYMPHNA ♦ crown of thorns  Tumblr_inline_ng2ychibNC1sc3ygs
H E R E . W E . A R E
dymphna (blavatsky) wellington, nice to meet you.

Il n'est pas toujours évident de se dire que déjà sept années sont passées depuis que je suis rentrée à Poudlard. J'ai parfois des nouvelles de mon père, mais j'ai fini par brûler ses lettres sans plus y prêter attention. S'il veut me trouver, moi je n'ai pas bouger. Mais il ne le fera pas, il est bien trop lâche pour cela.

Je termine ma dernière année à Poudlard, et - ne nous mentons pas - c'est avec le coeur gros que j'essaie d'imaginer mon avenir. Néanmoins, je profite des derniers mois qu'il me reste, fidèle à moi-même. Oh, et si qui que ce soit vous dit que j'ai fini en sous-vêtements dans la salle commune des gryffondors, un soir, après avoir consommé trop de whisky pur feu, ne le croyez surtout pas ! Ce ne sont que purs calomnies (même si en vérité, je ne m'en souviens pas très bien) ! Aux yeux de mes camarades, je reste cette élève joyeuse, tête brûlée et parfois irréfléchie qui a développé un sixième sens pour échapper au concierge après neuf heures. Pour mes professeurs, je suis cette fille qui leur a fait des frayeurs en quatrième, mais qui s'est ressaisie et qui réussit maintenant non sans un certain succès. Et puis, il y a les personnes qui me sont le plus proches. Celles qui connaissent mes déboires, mais qui me permettent de l'oublier. Celles qui me permettent d'aller en avant malgré que je me sente parfois seule au monde. Parfois, je m'imagine ma grand-mère avoir une conversation avec les fantômes de l'école, parlant de sa petite fille "Mais oui, vous savez, la Gryffondor !" remplie de fierté, me couvrant de compliments plus ou moins mérités. Et puis, quand la nuit est d'encre, je m'endors en repensant à ma mère, espérant qu'elle aussi est fière de moi de là où elle est, espérant qu'elle sache à quel point elle me manque et combien je l'aime. Enfin, de temps à autre, il m'arrive à penser à mon père, et à prier pour qu'il réagisse, qu'il cesse de se cacher pour se battre lui aussi, mais cet espoir là est bien plus vain que tous les autres. Alors je m'endors en tâchant de ne plus y penser. De toute manière, demain est un jour à construire, et cela importe bien plus que tout le reste.



Dernière édition par Dymphna Wellington le Dim 10 Déc - 17:16, édité 1 fois
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AnonymousInvité
MessageSujet: Re: DYMPHNA ♦ crown of thorns    DYMPHNA ♦ crown of thorns  EmptyJeu 7 Déc - 21:43

Dym :plz: :plz:
ce perso était tellement cool trop hâte de le voir revenir à la vie et cette bouille est trop belle :cutie: :cutie: :cutie: :cutie: :cutie:
rebienvenue :leche: :leche: :leche:
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Sirius Black
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MessageSujet: Re: DYMPHNA ♦ crown of thorns    DYMPHNA ♦ crown of thorns  EmptyJeu 7 Déc - 21:52

:B:
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Lily Evans
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MessageSujet: Re: DYMPHNA ♦ crown of thorns    DYMPHNA ♦ crown of thorns  EmptyJeu 7 Déc - 21:59

:l:
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AnonymousInvité
MessageSujet: Re: DYMPHNA ♦ crown of thorns    DYMPHNA ♦ crown of thorns  EmptyJeu 7 Déc - 22:15

Merci beaucoup Dalia :l: je rage un peu d'avoir perdu deux points de compétence, mais je vais les récupérer DYMPHNA ♦ crown of thorns  4270475464
Les autres :l:
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AnonymousInvité
MessageSujet: Re: DYMPHNA ♦ crown of thorns    DYMPHNA ♦ crown of thorns  EmptyJeu 7 Déc - 23:01

J'aime trop le prénom et le début de la fiche, re bienvenue à toi :love:
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AnonymousInvité
MessageSujet: Re: DYMPHNA ♦ crown of thorns    DYMPHNA ♦ crown of thorns  EmptyJeu 7 Déc - 23:59

Han elle n'est plus blonde mais elle est belleeeeee ! DYYYYYYM ❤️❤️❤️
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MessageSujet: Re: DYMPHNA ♦ crown of thorns    DYMPHNA ♦ crown of thorns  EmptyVen 8 Déc - 4:31

Re-Bienvenue du coup :ho:
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Moreen O'Cahan
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MessageSujet: Re: DYMPHNA ♦ crown of thorns    DYMPHNA ♦ crown of thorns  EmptyVen 8 Déc - 9:15

Rebienvenue ! J'adore le vava :cutie: et ce début de ficheeee hiiiii :woohoo:
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Hestia Jones
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MessageSujet: Re: DYMPHNA ♦ crown of thorns    DYMPHNA ♦ crown of thorns  EmptyVen 8 Déc - 13:10

Re-bienvenue et bon courage pour ta fiche ! Avec Krystal en avatar :l: :l:
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AnonymousInvité
MessageSujet: Re: DYMPHNA ♦ crown of thorns    DYMPHNA ♦ crown of thorns  EmptyDim 10 Déc - 10:19

Merci tout le monde, vous êtes les meilleurs :l:
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AnonymousInvité
MessageSujet: Re: DYMPHNA ♦ crown of thorns    DYMPHNA ♦ crown of thorns  EmptyDim 10 Déc - 20:12

Krystal Jung, c'est mon BEBE ! :cutie: :cutie: :cutie: :cutie: :cutie: :cutie: :red: :red: :red:
Rebienvenue, elle a l'air très très très chouette ! :D
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Emmeline Vance
Emmeline Vance
MessageSujet: Re: DYMPHNA ♦ crown of thorns    DYMPHNA ♦ crown of thorns  EmptyLun 11 Déc - 14:55

Dyyyyyym :cutie: une fiche très agréable à lire as usual, même si mon cœur s'est un peu brisé ok :stare: tu connais la chanson maintenant, la réservation d'avatar c'est là, les liens par ici et les demandes diverses, over there :l: je file te rajouter ton groupe et tes points de compétences magiques, et bon jeuuu :hola:
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