(M) MARTIN FREEMAN

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ϟ Âge : 43 ans ϟ Maison : ancien Serdaigle ϟ Métier : Professeur d'astronomie ϟ Affiliation : Neutre à tendance pro-ordre du Phénix ϟ Sang : Sang-Mêlé
ϟ Avatar : Martin Freeman

my story Le plus gros de l’histoire est détaillé dans le lien avec Archibald Le choipeau l’a mis chez les Serdaigle – il est passionné depuis tout petit par l’astronomie – il est le cliché du rat de bibliothèque – il est homosexuel bien qu’il ne s’affiche pas ouvertement – il a eu son premier baiser avec Archibald McKinnon peu avant les ASPICS – il a choisi de faire sa carrière à la rédaction de cartes du ciel et de divers traités d’astronomies – il a grandement voyagé au courant de sa vie pour écrire ses différents traités – il n’avait jamais pensé qu’il en viendrait à enseigner mais quand le professeur d’astronomie a du prendre une retraite forcée, il a sauté sur l’occasion – il est intelligent, réfléchi, curieux, original, pragmatique et posé.

Archibald McKinnon feat Alan Cumming
« Tu viens à la bibliothèque pour que l’on fasse le devoir? » demanda l’écossais en le regardant avec des yeux malicieux. Première année à Poudlard ensemble. Par hasard, ils avaient hérité de deux lits côte à côté dans le dortoir des Serdaigle, de la même table de travail en métamorphose. Avec leur tempérament similaire, ils étaient littéralement fait pour se rencontrer ses deux là. Archibald avait ce petit côté qui partait dans tous les sens dès qu’il avait compris. Edern se permettait de rêver et de pelleter des nuages comme personne ne le faisait. Et pourtant, ils savaient comment s’amener à travailler pour obtenir ce qu’ils voulaient.

En sixième année dans le cours de potion, Archibald leva fièrement la main pour répondre à la question de l’amortentia mais n’arriva pas à dire devant tout le monde ce qu’il y avait senti : comment expliquer que c’était un mélange de livre et du shampoing qu’Edern portait. Sans le savoir, de fil en aiguille, la relation qui s’était tissé entre les deux semblait davantage à une relation amoureuse qu’à une relation amicale. Mais de là à admettre qu’il se passait quelque chose, les deux n’étaient pas nécessairement prêt à l’admettre. À la fin de leur septième année, ce fut leurs actions qui les trahirent. Des lèvres qui se frôlèrent au fond de la bibliothèque tendrement mais avec insistance. Archibald à bout de souffle ramassa ses bouquins en murmurant : « Je t’aime… » avant de plier bagage pour aller étudier ailleurs pour l’instant.

Ils avaient tous les deux consciences de l’époque. Du fait que ce n’était pas convenable de ressentir ce qu’ils ressentaient l’un pour l’autre. Pourtant, pendant leur deux premières années de recherche en Écosse, ils ont pratiquement formé un couple. Toutefois, au début des années 1950, l’oppression de ce type de relation étaient au plus fort. Pour des raisons de sécurité, ils ont choisi à vingt ans de s’éviter même si cela s’est traduit par le biais de longues lettres parfois enflammées qui étaient échangés entre les deux.

C’est par hasard qu’ils se sont rencontré de nouveau sur le même site de recherche magique au beau milieu du Brésil. Pendant des années, ils ont eu droit à un véritable chassé croisés entre différent endroit jusqu’à ce qu’Archibald accepte de prendre le poste à Poudlard de soins aux créatures magiques. À chaque été, ils en finissent par se recroiser et finir toujours de la même manière. « Quand est-ce que tu dois retourner à Poudlard? » demanda doucement Edern, en passant doucement ses doigts dans les cheveux ébouriffé d’Archibald qui comme seule réponse émis un grognement. Ils s’étaient retrouvés au Mexique cette année et à peine déposé au sol, ils avaient repris exactement là où ils s’étaient laissés. Tant pis pour le jugement d’autrui… Leur attirance est mutuelle et pratiquement magnétique.

Quand ils se sont quittés, à la fin d’août 1977, Archibald ne s’attendait surtout pas à le voir s’assoir avec un regard complice en biais sur la place à côté de lui dans la grande salle. Il avait déglutit péniblement en laissant sa main se glisser vers le dessus de la cuisse d’Edern. La lutte pour ne pas céder allait être complexe.