have a biscuit, potter. (morpheus)

Affiliation : morpheus. il réfléchit. parce que dans sa tête, c'est la cacophonie. mais morpheus, il sait déjà qu'il sera pro-voldemort. inconsciemment. morpheus et sa colère. celle qui captive et qui fait peur. les poings tatoués de cet aspect bleutés. maman, mamie, papy et le reste de la famille sont pro-voldemort. il a été éduqué ainsi. dans cet univers. ça fait partie de lui. ça partie de sa vie. passé. présent. futur. c'est tout. c'est ainsi. mais morpheus, il a vu son cousin se ranger ailleurs. et ça a tout chamboulé dans sa tête. et si, lui aussi été dans le mauvais camp ? et si l'ordre était meilleur ? et si ceci, et si cela. et en plus, dans son sang, coule du sang de traite. la famille a papa ne voulait pas suivre les règles. ça le perturbe. des questionnements. et si, on le prenait pour un traite ? et si, au final, il ne convenait pas ? un peu parano, un peu fou. tout qui s’emmêle. pas de fils conducteur. juste ça. des pensées sans réelles avancées. morpheus est peut-être un traite ? de par son autre nom. de par son père. il ne sait pas. non. c'est un pro-voldemort. c'est un black. mais. si jamais il n'était pas ça ? s'il était finalement différent ? il a mal au crâne l'enfant. il mal au cœur. mal de voir tous ses sangs-de-bourbes se baladaient librement. et il a mal de voir cette haine grandissante. mais au fond. il sait qu'il est supérieur. que les sangs-purs sont les rois. ça s'bouscule dans sa caboche. tout se confond.

Baguette : une baguette en aubépine. une baguette qui convient aux sorciers de nature conflictuelle. ce qu'est morpheus. lui et son esprit contradictoire. lui et son esprit conflictuel. d'une taille de trente-deux centimètres. raisonnable. ça rentre dans la poche. plutôt souple, quoi qu'épaisse. on parle vraiment de baguette ? une plume de phénix vient s'emparer de son cœur. une baguette parfaitement à ses yeux. on peut souvent la retrouver dans une poche intérieure. autant sur son uniforme que dans ses vestons sur mesure. toujours à porté de main, c'est ce que répète maman.

Miroir du Riséd : morpheus n'est pas un rêveur. il ne croit pas au miroir du Riséd. il ne lui montre seulement ce qu'il veut voir. pas ce qui adviendra de sa vie. de son futur. alors quand il se regarde, il ne voit que lui. rien d'autre. peut-être serait-il triomphant de quelque chose. peut-être aurait-il la gloire. il ne sait pas. il s'en fiche. seul une ombre plane sur lui. mais elle ne semble pas effrayante. elle l'attire. ce n'est rien pour lui. juste une ombre qui plane. comme un nuage plane dans le ciel. mais oubliant, cette ombre. ses mains tachetés d'une couleur pourpre contraste étrange avec son teint de porcelaine. et petit à petit. il se rend compte que son visage affiche un sourire satisfait. un sourire diabolique. la folie ancrée dans ses yeux. et son esprit lui joue des tours. tout devient flou. et le voilà qui rit. mais aucun son ne sort. et ça ne lui pas peur. ce qu'il voit ne l'effraie pas. rien. pas de sentiment. morpheus ne ressent rien. un désir singulier, tranchant, que lui-même ne comprend pas. du moins, c'est ce qu'il croit.

Épouvantard : la honte de la famille. s'il a bien une peur qu'il n'arrive pas ç évacuer. se serait celle-ci. le déshonneur de sa mère. celle qui chérie. il ne pourrait la décevoir. il ne doit pas. morpheus, il n'a jamais vraiment peur du noir. de la mort. ou encore d'un animal quelconque. non. c'était l'opinion de sa mère sur lui. et celui-ci se sent blessé lorsqu'elle le traite d'incapable. chose qui lui arrivait toujours jeune. alors il a grandi. vite. et il a fait ce qui fallait pour ne plus avoir ce regard empli de honte sur lui.

Amortentia : une tarte à la mélasse. son péché mignon. celle que sa mère fait. une tarte parfaite à ses yeux. son odeur lui rappelle la maison. loin de Poudlard. cette odeur qui lui fait lâcher ses lèvres et baver un peu. celui du manoir Black. celle de sa jeunesse. celle qui emplie ses habits en arrivant au collège. avant d'être pris par la vieille odeur du château et de leur façon de laver le linge. une odeur qui disparaît avec le dernier habit qu'il porte. et en dernier. il sent une odeur de fumée. celle des allumettes qui ont finis de brûler. celle qu'on a éteinte d'un souffle glacial. cette odeur disparate qui l'attire.

Compétences magiques

Duels : 6/10
Potions : 5/10
Métamorphose : 1/10
Sortilèges : 7/10
Légilimancie : 2/10
Occlumancie : 3/10
Quidditch : 6/10
Divination : 0/10

il marchait droit devant lui. l'autre black qui lui colle au basque. il l'avait envoyé chier. mais il continuait toujours de le suivre. « fiches-moi la paix. ou je vais le dire à maman que tu t'amuses avec les sangs-de-bourbes. » il a lâché sa froidement. parce que franchement, il en avait marre de lui. il s'est retourné, les poings liées. la haine dans les yeux. son frère en avait marre et il allait le lui faire savoir. ni une, ni deux, le plus jeune avait pris ses pieds à son cou. bon débarras avait-il sifflé entre ses dents. morpheus adorait son frère comme il le détestait. celui-ci lui tapait sur les nerfs. pourtant, il ferait tout pour lui. sa salle commune n'était plus qu'à quelques minutes. il passait parmi la foule. tel un roi. jetant un regard froid sur qui osait marcher sur son passage. son uniforme vert fessait contraste avec sa beau blafarde. et ses boucles tombaient juste dessus ses sourcils. une démarche féline et sûr. sa sacoche frappant frénétiquement sa cuisse. ses cours dans la main droite. plaqué contre son flan. il revenait d'un cours de botanique. cours qu'il appréciait, sans toute fois l'avoir parmi ses favoris. une matière parmi d'autre. le cours était bien, le professeur un peu moins. mais celui-ci étant adulte. il gardait un minimum de respect pour lui. morpheus venait de finir. c'était son dernier cours de la mâtiné et une seule chose était présente dans son esprit. rentrer dans son dortoir. y déposer ses affaires. et se reposer quelques minutes. le black avait oublié ô combien, son voisin de gauche, ronflait la nuit. et par conséquence, elle lui avait paru plus longue. ses yeux ne s'étaient fermé qu'au petit matin, quand le soleil pointait le bout de son nez. par chance, il commençait à dix heures. au tournant. il ne pu apercevoir une silhouette étrange. inhabituel. du moins, en ces lieux. « qu'est-ce que tu fiches ici ? » c'est vrai ça. qu'il fiche ici ? il a rien à y faire.