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 (barnabas) the busy, but informative, life

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AnonymousInvité
MessageSujet: (barnabas) the busy, but informative, life   (barnabas) the busy, but informative, life EmptySam 20 Jan - 22:38

Barnabas Richard Cuffe

ϟ Âge : Le sorcier a aujourd’hui 29 ans. Il les porte plutôt bien, toujours à la fois adolescent et responsable, un équilibre parfait qui le rend trop sûr de lui, voire un peu arrogant.
ϟ Nationalité : Il est londonien du côté de son père, sa mère vient de France, et il est né non loin d’Orléans. Ce qui fait de lui un franco-britannique de premier choix, aux racines continentales et insulaires.
ϟ Métier : Rédacteur-En-Chef de la Gazette du Sorcier
ϟ Ancienne maison : Le choixpeau magique décida de le mettre à Serpentard pour son ambition et son tempérament sournois face aux sorciers qui n’étaient pas des hybrides. L’honorable chapeau avait hésité avec Serdaigle, la maison des rats de bibliothèques qui ont la mémoire longue, très longue.
ϟ Sang : Le paternel est un sorcier, qui descend de l’union de deux sang-mêlé. Il est donc considéré comme ayant du sang souillé, mixte, entre moldu et sorcier, ce qui est loin d’être le cas lorsqu’on connait le mode de vie des Cuffe.  Quant à sa mère veela, elle fait partie des « Etres » selon la classification du ministère. Il porte donc un sang-mêlé, hybride, demi-veela.

ϟ Caractère : Colérique, avide, avenant, charmeur, charismatique, intelligent, travailleur, sportif, cynique, curieux.

ϟ Avatar : Harvey Newton-Haydon

Affiliation : La neutralité est une valeur du journalisme. On vous a expliqué que cette neutralité était la garantie d’un travail de qualité. Scoop : on vous a menti. Rester neutre c’est se donner la garantie de traverser les régimes politiques, de franchir les obstacles du temps, et de toujours pouvoir produire un papier, au bon moment, avec les bonnes informations. Doit-on s’arranger avec le pouvoir ? Oui. L’intérêt n’est jamais général, il est personnel. Lorsque bons comme mauvais d’aujourd’hui vous crachaient dessus naguère à Poudlard, lorsque chacun des deux camps s’arrachent vos faveurs dans les coulisses du monde, lorsqu’on a subi la violence et que l’on est trop arrogant et fier de son parcours pour se jeter dans la boue, lorsqu’on est cynique au point de vendre des journaux, alors on joue pour soi, on est neutre mais intéressé, en retrait mais dans les pages du quotidien le plus lu de Grande-Bretagne. On est mondain, on se fait sympathique, mais ce que l’on cherche, c’est l’information, ce détail de l’histoire qui fera la différence et gonflera les ventes de la Gazette du Sorcier.

Baguette : La baguette mesure un peu plus de 27 centimètres, taillé dans un bois de cèdre. Les propriétaires de baguettes en cèdre ont une force de caractère et une loyauté peu communes. La baguette de cèdre ne se sent à l’aise que dans la perspicacité et le discernement. Ollivander va cependant plus loin en disant que jamais il n’aurait l’idée de mettre en colère le possesseur d’une baguette de cèdre. En son cœur, Amaranthe Cuffe, la mère de Barnabas, y a fourni un de ses cheveux de veela, ce qui a donné un très mauvais caractère à la baguette…  

Miroir du Riséd : Au plus profond de lui, il se voit debout, propre et empli de réussite, tenant dans sa main la tête de l’agresseur de sa mère qui jadis lui appris la violence du monde. C’est une pulsion qu’il ressent depuis qu’il est enfant, qui le hante et qui le pèse. Résoudre cette pulsion est l’impossible assouvissement d’un désir sombre. Voir mort celui qui le désenchanta du monde, qui lui ouvrit les yeux sur l’horreur et l’intolérance qui faisaient partie de la société, c’est là son plus grand souhait. Il est au fondement de tout ce qu’est le jeune homme aujourd’hui : un cynique, qui fait son beurre sur le sensationnalisme, d’une intelligence rare et au sang chaud, colérique et passionnel.  

Épouvantard : La page blanche, la tragédie de tous les écrivains et des journalistes. Barnabas Cuffe est attaché à son talent. C’est à la fois son refuge et son arme. Sa plus grande peur est d’être dépourvu de toute cette influence qu’il commence à avoir au bout de sa plume. C’est son sixième sens et le lui en priver équivaudrait à le rendre à la fois aveugle et sourd. L’épouvantard c’est pour lui le néant, l’esprit vide de toute inspiration, la mort de la muse qui guide ses mots depuis tant d’années.

Amortentia : Barnabas n’est pas le genre d’homme à tomber amoureux. C’est en effet son travail qui est l’échappatoire à tous les autres aspects de sa vie personnelle.  Pourtant, comme pour chacun des sorciers, l’Amortentia dégage une série d’odeurs et de fragrances qui l’attirent particulièrement.

L’essence de rose, composant des notes des parfums les plus raffinés, souvent français, avec un ton de musc mâle. Cette première odeur est fugitive, parce qu’elle est lointaine. Il n’attache ces notes fleuries et masculines à aucun de ses souvenirs. C’est un mystère qui n’est pas encore élucidé.

Le chocolat au four. C’est une odeur plaisante et rassurante qui vient de son enfance. A chaque gâteau, moelleux, fondants muffins ou autres brownies au chocolat, il remontait des cuisines de Madam Evelyn une odeur de chocolat cuit au four, dans une pâte préparée avec une minutie et un professionnalisme honorable. C’était sa madeleine de Proust lorsque, dans la bibliothèque de la maison familial, entre un roman français et une nouvelle américaine, les domestiques lui apportaient un vrai repas d’enfant : une pâtisserie au chocolat avec de la crème anglaise La faute à sa mère, Amaranthe, qui n’aimait manger que de la cuisine gastronomique, élégante, sophistiquée mais à peine assez nourrissante...

L’odeur du souffre a pour lui une très étrange résonnance. Il l’associe à la rue, aux bagarres et aux duels. C’est pour Barnabas un parfum attaché intimement au monde des sorciers et à son quotidien, à la fois dangereux et énigmatique, de ceux qui trainent le soir en grillant des joints de mandragore et en s’adonnant à des activités secrètes dans la noirceur de Londres.


Compétences magiques

Duels : 8/10
Potions : 2/10
Métamorphose : 2/10
Sortilèges : 8/10
Légilimancie : 5/10
Occlumancie : 10/10
Quidditch : 5/10
Divination : 0/10

ϟ Pseudo/prénom : Murlyϟ Âge : 23ans ϟ Fréquence de connexion : Autant qe possible ϟ Ce personnage est : inventé ϟ Où nous avez-vous connu : Double Compte ϟ Le mot de la fin : :l:


Dernière édition par Barnabas Cuffe le Dim 21 Jan - 19:43, édité 10 fois
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AnonymousInvité
MessageSujet: Re: (barnabas) the busy, but informative, life   (barnabas) the busy, but informative, life EmptySam 20 Jan - 22:39

Prologue



Une chouette effraie s’engouffra dans le soupirail qui menait aux sous-sols de Granthower House. Au loin, Big Ben sonnait. Là, dans une cuisine victorienne, assise sur une chaise en bois, une grosse femme rouge, vêtue d’un tablier de service, étouffa un glapissement de surprise. Époussetant sa tenue comme si le Ministre de la Magie en personne venait de pénétrer au milieu de ses fourneaux, elle se dirigea d’un pas décidé vers l’office de la gouvernante, la lettre à la main, frappa de trois coups secs et poussa la porte qui s’ouvrit en grinçant.

- Madam Evelyn, what’s the matter ? adressa le majordome alors qu’elle essuyait d’un coup de baguette le thé qui avait jaillit de sa tasse dans un sursaut de surprise.

Madam Evelyn resta silencieuse et, pour toute réponse, tandis le morceau de parchemin sur lequel on apercevait une écriture raide, tracée dans une encre noire épaisse. Les joues de la cuisinière étaient tellement rouges que la pauvre femme ressemblait désormais à un faisan gras sur le point de se faire plumer. Le majordome n’eut aucune réaction. Il ajusta ses lunettes sur son nez retroussé et pris le temps de relire la missive. Ses yeux s’écarquillèrent à mesure qu’il comprenait le contenu du message. Il devint aussi pâle que Madame Evelyn était rougeoyante.

- Monsieur has arrived two hours ago in London, finit par lancer avec impatience la cuisinière qui porta un regard rapide à l’horloge, with a wife and a child. La nouvelle sembla pétrifier le majordome qui se ressaisit, ajusta sa redingote et qui pris sa baguette dans un des tiroirs du bureau.

- Gather the house-elves immediately ! I want the teapot goes on and, by Merlin’s beard, put a plate of sweets, biscuits or loaves on the table of the Green Room, ordonna le domestique sur un ton autoritaire en vérifiant les lacets de ses souliers.

Il disparut dans le couloir de service, monta quatre à quatre les marches qui menaient au rez-de-chaussée, et parcouru chaque pièce en faisant disparaitre les grands draps blancs étendus par-dessus le mobilier. Quelques minutes plus tard, on entendit dans les étages une demi-douzaine de crac sonores. Les elfes de maison se mettaient enfin à l’ouvrage pour rendre le lieu habitable à leurs maitres : la famille Cuffe.


Chapter 1: Meet the Cuffe




On organisait un bal dans l’Atrium du Ministère de la Magie. Cinq ans s’étaient écoulés comme l’eau sous les ponts depuis la chute du mage noir Grindelwald. Des centaines de bougies éternelles imprimaient en slow motion les ombres des invités sur les murs recouverts de lambris de bois sombre. Les fontaines projetaient des jets d’eau pétillante roses, jaunes et bleus. Sur le parquet, ciré à la perfection, résonnaient déjà les pas compliqués des danses élégantes qui marqueraient les années 50. Billy The Wig and his beasts jouaient les airs de jazz qui venaient tout droit des amériques, une tendance très en vogue en cette nouvelle décénnie.

Il y avait là Léonard Spencer-Moon, ministre de la magie au temps de l’ascension et de la chute du mage noir, un homme rondouillet mais énergique, vêtu d’un costume de tweed couleur lavande et fumant un immense cigare qui crachait d’énormes volutes de fumée. Il semblait en grande discussion avec un homme grand, aux cheveux grisonnants, qui portaient encore un visage avenant et romantique. Il avait un front large parsemés des rides du travail d’un littéraire, et un rire grave, mondain, qui provoquait toujours quelques gloussements précieux chez la gent féminine. Tous les chapeaux se levaient rapidement à leur aspect.

- Let me introduce you to my wife, Léonard, annonça Melchior Cuffe. Il désigna de la main une ravissante créature qui traversait sans difficulté, et avec une grâce surnaturelle, la foule des sorciers du monde.

Amaranthe Cuffe portait un menton fier, et un sourire malicieux. Sa chevelure blonde, presque blanche, formait une auréole autour de son visage parfait. Elle portait une robe rouge, qui épousait parfaitement ses formes envoutantes, un châle pourpre et vaporeux, qui donnait à sa peau pâle l’impression de l’être autant que de la porcelaine de chine, et des escarpins en peau de Runespoor, qui lui avaient été offerts pour l’occasion. Léonard Spencer-Moon s’inclina, hypnotisé par la beauté de la femme, et il lui attrapa la main pour y déposer un baiser respectueux.

- It is a great pleasure to meet such a lovely veela, dit l’ancien ministre en se relevant. You are lucky Melchior, very lucky… Il secoua la tête pour se forcer à quitter des yeux la ravissante Amaranthe et s’éloigna avec un sourire convenu.

Amaranthe et Melchior Cuffe ignorèrent les chuchotements des tenants de la pureté du sang. Tous deux s’élançaient déjà sur la piste, délaissant leurs verres de vin d’ortie pour s’adonner à un foxtrot exemplaire. L’occasion était si rare depuis qu’ils avaient eu un enfant, prénommé Barnabas. Ils représentaient à eux seul une bourgeoisie richissime non de la rente mais du succès. Le nom des Cuffe avait toujours été attaché d’une manière ou d’une autre aux lettres, à l’actualité et aux mondanités. Le père de Melchior Cuffe, qui mourut après plus de 120 ans printemps, avait réalisé une vraie ascension. Pigiste au New York Ghost, auteur d’ouvrages juridiques sur le code du secret magique international, il avait rêvé toute sa jeunesse de la mère patrie britannique. Il avait rejoint Londres avec sa famille pour y continuer son travail de pigiste à la Gazette du Sorcier, abandonnant le droit pour la passion du quotidien. Trente années plus tard, il en était devenu le propriétaire, faisant de sa famille, malgré l’impureté de leur sang, des sorciers incontournables du monde de la magie britannique.


Chapter 2: Death to the Hybrids !




Elle restait allongée là, presqu’inconsciente, les cheveux humides et la beauté intacte, comme si le monde s’était arrêté. Ses lèvres murmuraient des paroles inaudibles. Le Chemin de Traverse tombait dans la pénombre de l’après-midi. Un officier de la brigade de police magique, le col remonté pour se protéger du courant d’air, enregistrait les souvenirs des rares témoins. La foule s’était dispersée lorsqu’on avait poussé un cri animal, aérien, digne d’un rapace pris dans un piège tendu par un braconnier. Le soleil avait brillé toute la journée, mais désormais c’était terminé. Un garçon d’à peine une dizaine d’années se tenait debout près du corps meurtri d’Amaranthe Cuffe. Il n’avait pas eu le temps de voir l’agresseur, trop occupé à dévoré sa glace au citron. Pétrifié par l’expérience surréaliste, inaudible et indicible qu’il venait de vivre, il s’était rendu compte de la violence du monde contre les créatures, les « êtres ».

- Barnabas ? Barnabas are you all right ? Melchior Cuffe tenait son seul fils par les épaules et exigeait de lui une réponse. L’enfant acquiesça d’un signe de tête et se retourna, pour enlacer son père. Celui-ci le laissa faire tandis que le petit sorcier commençait à pleurer, pour relâcher enfin la pression et le surplus d’adrénaline

Mort aux hybrides. Voilà ce qu’on lisait sur les tracts qu’avaient lancé l’agresseur, un homme encapuchonné à la voix jeune, avant de se ruer poignard à la main sur Barnabas Cuffe, vite protégé par sa mère. Amaranthe avait pris l’apparence d’une femme hideuse, à tête d’oiseau, et ses mains s’étaient enflammées. Des ailes couvertes d’écailles lacérèrent sa robe de sorcière. De peur, l’assaillant avait tourné les talons et il prit ses jambes à son cou pour ne pas subir les foudres de la veela. Epuisée par le choc, l’épouse Cuffe s’était effondrée sur le pavé, non loin de la Gringotts, la banque des sorciers.

- The healers take her to the hospital. We go home for now, dit Melchior en essayant d’adopter un ton rassurant pour encourager Barnabas à ne pas se murer dans le silence. Il serra la main des brigadiers, s’assura du bon transplanage des guérisseurs qui transportaient la blessée vers Ste Mungo, et disparut à son tour sans un bruit.

Ce que Barnabas ignorait, c'était que la haine des hybrides traversaient encore la société magique, faisant davantage consensus que le rejet des né-moldus. Ses parents, optimistes quant à la nature des sorciers, ne s'étaient pas alarmé d'informer leur fils d'un tel danger de la part de certains. Il y avait pourtant un a priori tenace devant ce petit garçon aux cheveux encore un peu blond, produit de la relation d'un sorcier, influent dans la société de la presse magique, et d'une veela, créature subversive à en croire les tenants du rejet des hybrides. Cette violence du quotidien allait forgé le caractère de Barnabas tant, depuis ce jour, il comprit qu'il serait toujours regardé comme une anomalie.


Chapter 3: Some Daily Profits




- Did you fall down and smack your little head on the pavement ? lança-t-il, la tête entre les mains comme s’il était sujet à une affreuse migraine. I had hope. Merlin’s sake, I live on it. Anyway, you ended up disappointing me more than any of the other silly girls.

Barnabas Cuffe venait de prendre le poste de rédacteur-en-chef à la Gazette du Sorcier. Quelques jours plus tôt, son père l’avait convaincu d’accepter de nouvelles responsabilités pour faire tourner la machine en temps de crise. Melchior commençait à être fatiguer par son métier et aspirait à une direction de loin, dans les prochaines années. Il était temps pour son héritier d'apprendre le métier de la décision, peu importe le danger contemporain. Oui, la guerre contre Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom faisait craindre pour la vie des gens qui manipulaient l’opinion par l’information. Leurs signatures restaient publiques et leurs bureaux sur le Chemin de Traverse n’étaient pas vraiment à l’abri de toute attaque.

Pourtant, la pression n’expliquait pas l’humeur exécrable qu’avait Barnabas. Il détestait les gens avec qui il devait travailler et il s’amusait plutôt à faire exercice de son autorité. Il avait gravi les échelons honnêtement, armé de sa seule volonté d’être à la hauteur de ses aïeux. Et il y était arrivé. Néanmoins, il se disait que les ennemis étaient nombreux, et il était intimement persuadé que tous convoitaient désormais sa place. Son statut d'hybride l'avait rendu aussi excellent dans son domaine que paranoïaque avec les gens qui le partageait. En dehors de la Gazette, il était charmant et intéressant. Au sein de la rédaction, on ne l'appelait pas "l'emmerdeur" pour plaisanter...

Au vu du travail qu’il ramenait le soir, dans son appartement caché du côté moldu de Londres, à deux pas de St James Square, on comprenait très vite que l’arrogant hybride se considérait comme indispensable à l’information. Entre deux cocktails mondains, il devait tenir les standards de La Gazette, les dépasser, innover dans la continuité, et fidéliser encore davantage de sorcier. Alors, les patronus de communication qu’il envoyait jusqu’aux petites heures de la matinée tyrannisaient ses subordonnés. Barnabas était le premier à arriver le matin à la gazette, et le dernier à en sortir.

Et comme il ne comptait pas ses heures pour le journal, il dégageait rapidement cette conclusion, sans une once de compassion : les autres journalistes étaient des idiots finis, incapable de tenir la distance, de vrais fainéants…



Dernière édition par Barnabas Cuffe le Dim 21 Jan - 19:23, édité 11 fois
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AnonymousInvité
MessageSujet: Re: (barnabas) the busy, but informative, life   (barnabas) the busy, but informative, life EmptySam 20 Jan - 22:39

Witch Weekly : Portrait

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A seulement 29 ans, Barnabas Cuffe s’est fait connaître du monde magique avec ses nombreux articles parus dans la Gazette du Sorcier, notre quotidien bien connu de tous les foyers des mages et sorcières anglais. Notre hebdomadaire Sorcière-Hebdo l'a consacré sourire le plus charmeur de l'année, mettant pour la première fois en lumière son joli minois à l’heure où il prend ses nouvelles fonctions. Interview du jeune rédacteur-en-chef de la Gazette.

Dans les bureaux de la Gazette du Sorcier, on l’appelle « l’emmerdeur » avec un sourire complice au détour d’un café. Barnabas Cuffe vient d’être nommé rédacteur-en-chef de la Gazette du Sorcier. Fils de Melchior Cuffe, directeur et propriétaire du journal et de ses publications annexes, on aurait pu croire que tout cela sent un peu le piston. Ce serait une cuisante erreur qu’il nous a été facile de désamorcer. Le rendez-vous fut fixé quelques jours plus auparavant, et nous nous y rendîmes avec plaisir pour découvrir celui qui deviendrait d’un instant à l’autre le responsable de la rédaction du journal le plus lu de Grande-Bretagne.

« La Gazette est le lieu du mérite, où chaque sorcier et sorcière s’informe avec exactitude des événements qui traversent notre société » nous résume l’hôtesse brune qui nous reçut à la Gazette avant de nous guider vers la salle de rédaction, où nous avions rendez-vous avec Barnabas. Tout comme son père, c’est un homme grand et avenant. Sans tomber dans le culte de la personnalité, ce nouveau visage incarne parfaitement les affaires qui occupe la presse magique actuelle : il est à la fois énergique et grave, rassurant et réaliste. Il nous fait signe de nous asseoir tandis que l’on nous sert deux chocolats chauds épais aux parfums de groseille et de nougat.

Barnabas Cuffe pouvait plaire quand il lui en prenait l’envie. Il ne manquait pas de charme, qu’il héritait du sang veela de sa mère, ni de talents, et surtout celui des affaires qu’il tenait quant à lui de son père. C’était un parleur éloquent lorsqu’il s’en donnait la peine. Sa fierté ne l’abandonnait jamais ; mais, dans son travail, il savait se montrer large d’idées, juste, sincère, estimable, et peut-être même séduisant. 

Bonjour Barnabas Cuffe. Comment allez-vous ?

Pas mal du tout, pour ne rien vous cacher.

Nouveau rédacteur-en-chef, vous entrez dans les bottes de votre père, Melchior Cuffe, à l’âge de 29 ans. C’est ce qu’on appelle la gloire ?

La gloire c’est beaucoup dire… Pour un écrivain, la Gazette du Sorcier est un paradis. C’est donc plutôt un laisser-passer vers une autre occasion de faire mes preuves dans ce métier. Vous savez, ce n’est pas aussi simple qu’un héritage, qu’une rente. C’est un challenge quotidien, dans un monde qui est très dur, cela ne vous a pas échappé.

Beaucoup de nos lectrices nous ont adressé des lettres d’amour à votre endroit…

Comme c'est plaisant ! (rires) Blague à part, je les remercie beaucoup de l’intérêt que chacune d’elle me porte et je les invite évidemment à s’abonner, si ce n’est déjà fait, à la Gazette du Sorcier pour y lire ce que j’écris.

Ce sera donc toujours le travail d’abord ?

Bien entendu ! J’ai la chance de faire le travail pour lequel je suis modestement doué et dans lequel je m’épanouis. C’était mon rêve de gosse, depuis que j’ai l’âge de venir ici avec mon père. Vous savez, le travail a toujours été au centre de ma vie, durant ma scolarité à Poudlard et même au-delà. J’ai commencé pigiste à New York après mes ASPICs parce que mon père, comme son père avant lui, ne souhaitait pas léguer son entreprise à un enfant gâté qui a toujours travaillé au sein de la sphère familiale. On m’a encouragé à voir le monde et à faire mon expérience. Mes parents ont tout fait pour m’apprendre cette valeur : l’ambition du travail bien fait. Je m’y attèle donc sérieusement et avec passion.

Votre famille a été l’objet de beaucoup de potins durant votre enfance…

Oui, il n’était pas facile d’être un hybride, moitié-sorcier moitié-veela à l’époque. Il l’est encore aujourd’hui avec l’ascension de Vous-Savez-Qui et de ses partisans. Le Ministère fait beaucoup dans le sens de la tolérance et nous devons nous en féliciter. Nous vivons dans une société britannique encore très hiérarchique. C'est ainsi, il faut accepter de voir les choses évoluer à leur rythme. Précipiter l'histoire, cela fait de bons papiers, mais c'est tout aussi terrifiant.

Et comment cela se passait-il à Poudlard ?

J’étais entre rejet et fascination. Poudlard m’a apporté, comme pour tous vos lecteurs, un refuge et une deuxième maison. Je faisais partie de la maison Serpentard, bien que le Choixpeau ait hésité avec la maison Serdaigle. Il existait une tension entre les élèves fascinés par l’exotisme de ma condition et ceux qui rejetaient toute forme d’hybridation, au premier rang desquels se trouvaient les nés-moldus. La tradition nous enchainait à des représentations et à des normes que nous avons dépassées pour la plupart aujourd’hui. Je passais donc ma vie à la bibliothèque pour recueillir le plus d’information sur le monde des sorciers. Je n’ai jamais été un très bon élève dans les matières qui demandaient un savoir-faire pratique. Cela ne m’a pas empêché d’adorer mes années d’école et d'y avoir fait des rencontres sympathiques.

Pourquoi avoir choisi New York après vos études ? C'est assez étonnant lorsqu'on sait que toute votre famille vit à Londres.

Le jazz américain (rires) Tout simplement, The New York Ghost offrait un poste sur les relations magiques internationales, un poste de pigiste. J’ai davantage passé mon temps à passer le balai qu’à écrire, mais il fallait bien commencer quelque part, comme tout le monde. On ne peut pas écrire l’actualité sans connaitre le quotidien des sorciers.

Pour finir cette interview, parlons un peu d'avenir. Quels sont vos projets pour les années qui nous viennent ?

Nous verrons bien. Le monde est traversé par le changement, les engagements et les événements aussi grandioses que terrifiant. Je continuerai à écrire et à m’occuper de la Gazette du Sorcier. Cela me semble la moindre des choses.



Dernière édition par Barnabas Cuffe le Dim 21 Jan - 16:35, édité 1 fois
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Dorcas Meadowes
Dorcas Meadowes
MessageSujet: Re: (barnabas) the busy, but informative, life   (barnabas) the busy, but informative, life EmptyDim 21 Jan - 11:33

Hâte de lire cette nouvelle fiche :cutie: rebienvenue à la maison, tu connais la chanson, hésites pas à nous faire signe si tu as besoin, tout ça. Bon courage avec cette deuxième fiche !
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Antonin Dolohov
Antonin Dolohov
MessageSujet: Re: (barnabas) the busy, but informative, life   (barnabas) the busy, but informative, life EmptyDim 21 Jan - 12:18

Reee bienvenue :cutie: bon courage pour ta fiche :l:
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Lily Evans
Lily Evans
MessageSujet: Re: (barnabas) the busy, but informative, life   (barnabas) the busy, but informative, life EmptyDim 21 Jan - 15:30

(barnabas) the busy, but informative, life Original

Reeeee :cutie: :cutie: :l:
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AnonymousInvité
MessageSujet: Re: (barnabas) the busy, but informative, life   (barnabas) the busy, but informative, life EmptyDim 21 Jan - 17:18

Re bienvenue avec un préféré à tonton Horace :cutie:
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AnonymousInvité
MessageSujet: Re: (barnabas) the busy, but informative, life   (barnabas) the busy, but informative, life EmptyDim 21 Jan - 17:32

Merci à vous :l:

Barnabas est déjà heureux d'être arrivé parmi vous :cutie:
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Dorcas Meadowes
Dorcas Meadowes
MessageSujet: Re: (barnabas) the busy, but informative, life   (barnabas) the busy, but informative, life EmptyDim 21 Jan - 21:50

Fiche Validée !

Je savais que cette fiche serait très agréable à lire et je n'ai pas été déçue :cutie: ton style est terriblement cool, te lire est un vrai plaisir et je pense que je vais stalker un peu ce nouveau perso :face:

Maintenant que le plus dur est passé, voici quelques conseils pour poser tes valises sur le forum. Je t'invite dans un premier temps à aller recenser ton avatar dans le registre maintenant qu'il est validé. N'oublie pas non plus de te familiariser avec le système des points et à aller lire les annexes si ce n'est déjà fait.

Tu peux également et dès à présenter ouvrir ta fiche de liens et créer jusqu'à trois scénarios si tu en as besoin. Si tu as encore la moindre question à propos du forum, je suis toujours disponible par mp. Et, bien évidemment, la chatbox et le flood sont à ta disposition de jour comme de nuit !

Bon jeu sur FLOO POWDER !  :cute:  
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MessageSujet: Re: (barnabas) the busy, but informative, life   (barnabas) the busy, but informative, life Empty

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